Une excellente nouvelle pour bien commencer l'année. En attendant de retrouver un club à la hauteur de son talent, Natalya Zhukova s'affiche sur YOUTUBE. Tapez le nom de votre joueuse préférée et vous verrez apparaître deux vidéos à son nom, mise en ligne ces tout derniers jours. On y voit la belle kazhake multiplier les attaques, les contres, les services gagnants, bref toute la panoplie de la joueuse de Volley très complète qu'est Natalya au cours de matchs disputés la saison précédente avec son club grec du Markopoulovolley notamment contre l'Olympiakos du Pirée .  Dès fois que ces vidéos tapent dans l'oeil d'un recruteur ...

liens

http://www.youtube.com/watch?v=q6TS5nLzUJU

http://www.youtube.com/watch?v=OST5II6MbJU

Bon d'accord, même si natalya.rykova.free.fr a été quelque peu en sommeil cette année, et malgré quelques pannes de serveur, dont l'une a duré une bonne semaine,  il n'en reste pas moins vrai qu'à l'heure des bilans, l'année 2009 restera un très bon cru. http://natalya.rykova.free.fr aura enregistré plus de 10 000 connections cette année et plus de 22 000 pages consultées.  Souhaitons que l'année prochaine soit du même tonneau, et que notre joueuse de Volley préférée retrouve un club à la hauteur de son immense talent, aux Etats-Unis ou en Europe afin que notre site retrouve à nouveau toute sa dimension.

Bonne année et bonne santé à tous

Cordialement,

l'équipe rédactionnelle

 Les Italiennes et les Brésiliennes ne s'attendaient peut-être pas à devoir autant s'employer dans cette World grand Champions Cup, sorte de Coupe des Confédérations qui s'inscrit tous les 4 ans dans le calendrier international du Volley ball, l'année suivant les Jeux Olympiques. Cette épreuve est, il est vrai, très fermée, ne comptant que 6 équipes destinées à s'affronter les unes les autres au cours d'une semaine marathon à Tokyo puis Fukuoka. Outre l'équipe japonaise, évidemment qualifiée en tant que pays organisateur, la Coupe rassemble le Brésil, Champion Olympique en titre, l'Italie, double championne d'Europe et vainqueur du Championnat du monde, ainsi que la République dominicaine, la Thaïlande, toutes deux Championnes de leur Confédération respective, ainsi que la Corée du sud, détentrice d'une wild card.

Après deux journées, les Brésiliennes et les Italiennes sont naturellement en tête, mais ont été chahutées, particulièrement lors de la deuxième journée. Les pârtenaires de Leonora Lo Bianco ont été menées 0-2 par les Coréennes et sont passées touit près d'une correction en trois sets avant de l'emporter au tie break d'un match très serré, qui a vu la pointue coréenne Kim marquer la bagatelle de 30 points à Piccinini, Barazza et consorts ... Ce qui n'est évidemment pas donné à tout le monde. Quant aux Brésiliennes, toujours aussi souriantes à l'image de Sheila Castro et de Mari Steinbrecher, elles ont dû batailler ferme aussi pour venir à bout d'une équipe nippponne très accrocheuse et galvanisée, il est vrai par les 10 000 et quelques spectateurs, tous ou presque acquis à la cause des Saori ou Kurihara. Pas très inspirées, les auriverde peuvent remercier leur libero, Fabi, qui a tenu la réception, et même la "boutique" brésilienne, à bouts de bras dans les moments critiques du match. De quoi régaler les amateurs de Volley ball féminin. (photo FIVB, all rights reserved)

 Natalya Zhukova (Rykova) vous donne bien le bonjour depuis les Etats-Unis. Notre globe-trotteuse préférée a en effet posé ses valises et fait tamponner son passeport du côté des States depuis cet été. Avec une bonne et une mauvaise nouvelle. Commençons par la mauvaise : Natalya est à ce jour sans club, ce qui explique le silence de votre site préféré et l'échec des recherches sur Google. Mauvaise surprise pour Natalya qui espérait bien se trouver un club américain mais qui a dû déchanter, tant la crise mondiale a eu des effets dévastateurs sur les budgets des clubs professionnels du volley US. Mais la belle ne se décourage pas et ronge son frein, espérant rejouer vers le mois de décembre. Affaire à suivre donc. Par contre, bonne nouvelle, notre joueuse préférée s'est qualifiée, avec son équipe du Kazakhstan, cet été lors du tournoi relevé de la zone Asie à Taïwan pour les Championnats du Monde; épreuve qui se déroulera comme d'habitude à Tokyo en 2010. (voir photo)

C'était la chronique d'un sacre annoncé.

 Le Scavolini Pesaro avait tant survolé les débats de la Série A italienne qu'il était écrit que le scudetto ne pouvait pas échapper cette saison encore à la formation du "magicien" brésilien Zé Roberto Guimaraes. Et pourtant, la victoire en Ligue des Champions de la CEV paraissait tout autant acquis à l'équipe à l'attaque de feu composée - excusez du peu - de la brésilienne Jaqueline,  de la polonaise Skowronska mais aussi de l'italienne Costagrande, tout juste récompensée au titre de meilleure joueuse de la compétition. Et pourtant, à la surprise générale, cette équipe si sûre d'elle-même s'était fait souffler le trophée, d'un rien ... d'un simple set en or, par son ennemi intime, l'autre équipe transalpine du Foppapedretti Bergame; l'une des seules d'ailleurs à avoir fait chuter au cours de la saison de championnat l'équipe du Pesaro. Oui mais voilà, tout s'annonçait pour le mieux pour les coéquipières de Costagrande. En effet l'épouvantail bergamasque venait de rendre les armes en demi finale face à la talentueuse et renversante formation de l'Asystel Volley Novara. Adversaire coriace, mais peut être moins bien équipé paradoxalement pour gêner le Scavolini Pesaro.

 Et le fait est que le suspense n'aura pas duré très longtemps. A peine trois matchs. Et encore, sur les trois rencontres disputées, seule la première fut réellement l'objet d'une bataille indécise, certes remportée 3-0 par Pesaro, mais à chaque fois sur une marge infime. Mais il était dit que cette défaite pour le moins honorable devait casser définitivement le ressort de la formation de Novara, car par la suite, jamais la formation de Pedulla ne fut en mesure de faire autre chose que de la figuration face au rouleau compresseur du Scavolini. A l'image de la capitaine, la croate Osmokrovic, étincelante lors de la première rencontre créditée de 31 points, mais transparente par la suite. Il est vrai que les partenaires de Sara Anzanello avaient dû batailler très ferme lors des demi-finales, disputées en 5 rencontres interminables et que la formation de Pedulla était au bout du rouleau, à l'image de Margaret Kozuch. D'ailleurs la plupart des titulaires étaient blessées, à l'image de la passeuse internationale chinoise Feng  qui se donna une entorse lors du deuxième match et disputa le troisième sur une une jambe, au grand dam de sa remplaçante potentielle, Marta Bechis, restée pour l'essentiel sur le banc. en finale

Bravo donc au Scavolini Pesaro et à ses championnes :

Lunghi, Garzaro, Wijnhoven (L), Skowronska, Brussa, Castiglione, Ferretti, Furst, Costagrande, Di Crescenzo, Guiggi Lazcano, Jaqueline.